Reconnaissance « Tu ne convoiteras point » Travestir la vérité pour préserver la pudeur, la modestie, ou pour ne pas s’exposer à la honte La mitsva de travestir la vérité pour préserver la paix Tromperie Dire la vérité Repentir et pardon Mauvaise polémique et controverse au nom du Ciel La presse et la mitsva de protester Gens de médias Cas dans lesquels il est permis de dire des choses défavorables sur quelqu’un Gravité de l’interdit de médisance Médisance, calomnie et commérage L’interdit de la flatterie La mitsva de protester La mitsva de remontrance Juger son prochain de manière indulgente « Tu ne te vengeras point, ni ne garderas rancune » Si l’on a été offensé par son prochain, il faut le réprimander Associer les pauvres et les personnes seules aux occasions joyeuses Relation au prosélyte Prêter attention à l’honneur de l’orphelin, de la veuve et des autres affligés L’interdit de léser autrui et de faire honte à son prochain L’honneur dû à tout homme Honneur dû aux sages, aux anciens et aux dirigeants communautaires L’interdit de faire honte à autrui Restitution de l’objet perdu Prêter assistance Par les obligations de l’homme envers son prochain, se révèle la lumière divine dans le monde L’honneur dû à l’homme, créé à l’image de Dieu Relations d’Israël avec les nations Sens de l’interdit de haïr Sens de la mitsva d’amour du prochain
- Les obligations de l’homme envers son prochain -

Participer à la joie et à la peine d’autrui

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Participer à la joie et à la peine d’autrui

C’est une mitsva que de s’associer à la joie de ses proches et de ses amis : leur mariage, le mariage de leurs enfants, leur fête de bar-mitsva, de bat-mitsva, de circoncision, la joie d’une naissance. S’ils ont besoin d’aide dans l’organisation ou le financement de leur fête, c’est une mitsva que de les assister. Le cadeau qu’il est d’usage d’offrir en l’honneur de cette occasion joyeuse tient une part importante dans la participation à celle-ci ; et plus l’hôte a besoin d’aide, plus grand est le cadeau qu’il convient de lui donner.

Il n’est pas moins important, au moment où l’on arrive à la fête de ses amis, de s’efforcer de les réjouir, eux et les autres convives ; on réfléchira aux paroles sensées qu’il convient de leur adresser, réjouissantes et laudatives. Moins on se demandera si l’on reçoit les honneurs dus à sa personne, plus on pourra se réjouir et réjouir ses hôtes ; et plus on sera honorable aux yeux des autres.

De même, c’est une mitsva que de participer aux peines de ses proches et de ses connaissances. Si l’un d’entre eux meurt, c’est une mitsva que de s’en désoler, de participer à l’enterrement, et de faire ainsi honneur à sa mémoire et à sa famille. Si l’on connaît des proches qui se trouvent dans les sept premiers jours de deuil, c’est une mitsva que de leur rendre visite et de leur adresser des paroles consolatrices, afin qu’ils sachent qu’ils ne sont pas seuls, que leurs amis et connaissances prennent part à leur peine (cf. ci-après, chap. 14 § 12).

Bienfaisance par la parole Bienfaisance par la parole Adresser son chalom à autrui Être sensible à son prochain, afin de ne pas le peiner Courtoisie Paroles grossières Hospitalité Voisins La bonne société