Tromperie Dire la vérité Repentir et pardon Mauvaise polémique et controverse au nom du Ciel La presse et la mitsva de protester Gens de médias Cas dans lesquels il est permis de dire des choses défavorables sur quelqu’un Gravité de l’interdit de médisance Médisance, calomnie et commérage L’interdit de la flatterie La mitsva de protester La mitsva de remontrance Juger son prochain de manière indulgente « Tu ne te vengeras point, ni ne garderas rancune » Si l’on a été offensé par son prochain, il faut le réprimander Associer les pauvres et les personnes seules aux occasions joyeuses Relation au prosélyte Prêter attention à l’honneur de l’orphelin, de la veuve et des autres affligés L’interdit de léser autrui et de faire honte à son prochain L’honneur dû à tout homme Honneur dû aux sages, aux anciens et aux dirigeants communautaires L’interdit de faire honte à autrui Restitution de l’objet perdu Prêter assistance Par les obligations de l’homme envers son prochain, se révèle la lumière divine dans le monde L’honneur dû à l’homme, créé à l’image de Dieu Relations d’Israël avec les nations Sens de l’interdit de haïr Sens de la mitsva d’amour du prochain
- Les obligations de l’homme envers son prochain -

La mitsva de travestir la vérité pour préserver la paix

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La mitsva de travestir la vérité pour préserver la paix

Quand il y a conflit entre la vérité et la paix – par exemple dans le cas où, si l’on disait la vérité, on causerait un affront ou une querelle –, nos sages enseignent que la mitsva consiste à travestir la vérité pour préserver la paix. Nous trouvons ainsi, dans la Torah, que Dieu cacha la vérité en vertu de la paix : lorsqu’il fut annoncé à Sarah notre mère qu’elle donnerait naissance à un fils, elle rit en elle-même, en disant : « Après avoir flétri, serais-je redevenue jeuneb ? Et mon mari est âgé » (Gn 18, 12) ; mais quand l’Éternel raconta cela à Abraham, Il ne mentionna que ce qu’elle avait dit d’elle-même – d’après quoi elle était déjà arrivée à l’âge du flétrissement – et cacha la mention de la vieillesse d’Abraham. Car tout homme est susceptible d’être affecté, quand il apprend qu’il est vieux aux yeux de sa femme.

Si nous approfondissons la question, nous voyons qu’il n’y a pas de contradiction entre la valeur de la vérité et celle de la paix : la contradiction réside entre la vérité extérieure et la vérité intérieure. La vérité intérieure implique que les êtres humains veuillent vivre en paix les uns avec les autres ; car c’est un même Créateur qui les créa, et seules les complications du monde sèment entre eux la polémique et la querelle. Or la Torah a permis de préférer la vérité intérieure à la vérité extérieure. Cela, à la condition que, en travestissant la vérité, on ne cause pas de préjudice à son prochain. Mais si l’on sait, par exemple, que tel homme porte préjudice à son prochain, on a l’obligation de dire à celui-ci la vérité ; cela, afin que la victime du préjudice puisse se défendre et se préserver.

 

b C’est-à-dire : « Aurais-je de nouveau la possibilité d’enfanter ? »

Travestir la vérité pour préserver la pudeur, la modestie, ou pour ne pas s’exposer à la honte Travestir la vérité pour préserver la pudeur, la modestie, ou pour ne pas s’exposer à la honte « Tu ne convoiteras point » Reconnaissance Participer à la joie et à la peine d’autrui Bienfaisance par la parole Adresser son chalom à autrui Être sensible à son prochain, afin de ne pas le peiner Courtoisie Paroles grossières Hospitalité Voisins La bonne société