Être sensible à son prochain, afin de ne pas le peiner Adresser son chalom à autrui Bienfaisance par la parole Participer à la joie et à la peine d’autrui Reconnaissance « Tu ne convoiteras point » Travestir la vérité pour préserver la pudeur, la modestie, ou pour ne pas s’exposer à la honte La mitsva de travestir la vérité pour préserver la paix Tromperie Dire la vérité Repentir et pardon Mauvaise polémique et controverse au nom du Ciel La presse et la mitsva de protester Gens de médias Cas dans lesquels il est permis de dire des choses défavorables sur quelqu’un Gravité de l’interdit de médisance Médisance, calomnie et commérage L’interdit de la flatterie La mitsva de protester La mitsva de remontrance Juger son prochain de manière indulgente « Tu ne te vengeras point, ni ne garderas rancune » Si l’on a été offensé par son prochain, il faut le réprimander Associer les pauvres et les personnes seules aux occasions joyeuses Relation au prosélyte Prêter attention à l’honneur de l’orphelin, de la veuve et des autres affligés L’interdit de léser autrui et de faire honte à son prochain L’honneur dû à tout homme Honneur dû aux sages, aux anciens et aux dirigeants communautaires L’interdit de faire honte à autrui Restitution de l’objet perdu Prêter assistance Par les obligations de l’homme envers son prochain, se révèle la lumière divine dans le monde L’honneur dû à l’homme, créé à l’image de Dieu Relations d’Israël avec les nations Sens de l’interdit de haïr Sens de la mitsva d’amour du prochain
- Les obligations de l’homme envers son prochain -

Courtoisie

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Courtoisie

Toutes les règles de la courtoisie participent de la mitsva « Tu aimeras ton prochain comme toi-même », et, plus généralement, de la mitsva de préserver l’honneur dû à l’image divine qui réside en l’homme. Aussi faut-il observer les règles de l’hygiène couramment admises. Après être allé aux toilettes, on se lavera les mains comme il faut. On ne fraie point parmi les gens quand une mauvaise odeur émane de son corps, de sa bouche ou de ses vêtements. De même, on aura soin, en compagnie des autres, de se conduire de façon honorable et agréable, et l’on ne commettra pas d’actes repoussants, ou suscitant le dégoût – par exemple se curer le nez, rejeter de la nourriture de sa bouche, se gratter des plaies. Si l’on fait ce genre de choses, en plus de manquer à la mitsva d’aimer son prochain comme soi-même, on se rend méprisable et l’on enfreint l’interdit de bal techaqetsou (« Ne vous rendez point vous-mêmes abominables ») (Lv 11, 43). Tout, en cela, est fonction de ce qui, en tel lieu, est considéré comme dégoûtant. Mais même quand on se trouve seul chez soi, on honorera son humanité, on préservera sa propreté et ses habits, et l’on ne fera point d’actes répugnants.

Paroles grossières Paroles grossières Hospitalité Voisins La bonne société