Voisins Hospitalité Paroles grossières Courtoisie Être sensible à son prochain, afin de ne pas le peiner Adresser son chalom à autrui Bienfaisance par la parole Participer à la joie et à la peine d’autrui Reconnaissance « Tu ne convoiteras point » Travestir la vérité pour préserver la pudeur, la modestie, ou pour ne pas s’exposer à la honte La mitsva de travestir la vérité pour préserver la paix Tromperie Dire la vérité Repentir et pardon Mauvaise polémique et controverse au nom du Ciel La presse et la mitsva de protester Gens de médias Cas dans lesquels il est permis de dire des choses défavorables sur quelqu’un Gravité de l’interdit de médisance Médisance, calomnie et commérage L’interdit de la flatterie La mitsva de protester La mitsva de remontrance Juger son prochain de manière indulgente « Tu ne te vengeras point, ni ne garderas rancune » Si l’on a été offensé par son prochain, il faut le réprimander Associer les pauvres et les personnes seules aux occasions joyeuses Relation au prosélyte Prêter attention à l’honneur de l’orphelin, de la veuve et des autres affligés L’interdit de léser autrui et de faire honte à son prochain L’honneur dû à tout homme Honneur dû aux sages, aux anciens et aux dirigeants communautaires L’interdit de faire honte à autrui Restitution de l’objet perdu Prêter assistance Par les obligations de l’homme envers son prochain, se révèle la lumière divine dans le monde L’honneur dû à l’homme, créé à l’image de Dieu Relations d’Israël avec les nations Sens de l’interdit de haïr Sens de la mitsva d’amour du prochain
- Les obligations de l’homme envers son prochain -

La bonne société

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La bonne société

Les amis et les voisins ont une grande influence sur l’homme ; aussi les sages ont-ils prescrit : « Éloigne-toi d’un mauvais voisin, et ne te lie pas à un méchant » (Maximes des pères 1, 7). Bien souvent, ce n’est pas de façon consciente que nous subissons l’influence de la société environnante ; celle-ci fixe des normes, et, sans nous convaincre de manière directe, elle influe sur notre mode de pensée et de vie. Aussi, dans une société qui estime l’étude de la Torah et la pratique des mitsvot, la science et le travail, la droiture et la bienfaisance, l’initiative et l’assiduité, les chances de vivre conformément à ces valeurs est-elle plus grande.

Certes, il est interdit au Juif de se séparer de la collectivité d’Israël ; et en matière de collectivité, prise au sens général, il revient à chacun d’agir au service des valeurs communes, telles que le peuplement du pays, l’éducation, la santé, le service militaire, l’intégration de l’alya (immigration juive), le développement économique et l’aide aux personnes faibles. Mais quand il s’agit du milieu social au contact duquel l’homme vit directement, il convient à chacun de choisir d’habiter en un lieu où existe une communauté dont les structures et l’environnement sont conformes aux valeurs de la morale juive. Plus la demande de se joindre à une bonne communauté croîtra, plus nombreux seront ceux qui voudront ajouter à la vérité et au bien, et qui créeront d’autres bonnes communautés, grâce à quoi l’ensemble de la société s’élèvera. Toutefois, ceux qui sont volontaires pour s’installer dans un quartier requérant qu’on le renforce et l’améliore, afin d’y enseigner adultes et jeunes dans la voie de la rectitude sociale et de la Torah, accomplissent en cela une grande mitsva.