Gens de médias Cas dans lesquels il est permis de dire des choses défavorables sur quelqu’un Gravité de l’interdit de médisance Médisance, calomnie et commérage L’interdit de la flatterie La mitsva de protester La mitsva de remontrance Juger son prochain de manière indulgente « Tu ne te vengeras point, ni ne garderas rancune » Si l’on a été offensé par son prochain, il faut le réprimander Associer les pauvres et les personnes seules aux occasions joyeuses Relation au prosélyte Prêter attention à l’honneur de l’orphelin, de la veuve et des autres affligés L’interdit de léser autrui et de faire honte à son prochain L’honneur dû à tout homme Honneur dû aux sages, aux anciens et aux dirigeants communautaires L’interdit de faire honte à autrui Restitution de l’objet perdu Prêter assistance Par les obligations de l’homme envers son prochain, se révèle la lumière divine dans le monde L’honneur dû à l’homme, créé à l’image de Dieu Relations d’Israël avec les nations Sens de l’interdit de haïr Sens de la mitsva d’amour du prochain
- Les obligations de l’homme envers son prochain -

La presse et la mitsva de protester

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La presse et la mitsva de protester

Lorsque des gens de presse convenables blâment des hommes méchants, afin de les empêcher de continuer à nuire, ils accomplissent la mitsva de réprimande (hokha’ha) envers les pervers, laquelle est indispensable à l’amendement du monde. En effet, si les hommes droits ne blâmaient pas les méchants, il serait impossible de vaincre ceux-ci. Car de prime abord, toute lutte entre juste et méchant devrait se terminer par la victoire du méchant, puisque celui-ci se permet d’user de mensonges et de tout autre moyen intolérable afin de l’emporter sur le juste, tandis que le juste a les mains liées par les lois de la justice et de la loyauté. Cependant, le juste a un avantage : l’avantage moral. Il peut définir le méchant comme méchant. Et puisque les valeurs ont un poids décisif, l’affirmation morale qu’untel est méchant amènera la victoire des justes. Mais si les justes renonçaient à leur droit de définir les méchants comme tels et de les blâmer, ils n’auraient aucune chance de l’emporter.

Une grande responsabilité repose sur les épaules de l’homme de presse : celle d’analyser l’actualité avec droiture et équilibre, et d’avoir une perception juste des personnes devant qui il se trouve. Si le journaliste se trompe, décrit le juste comme méchant et le blâme, sa faute est bien plus grave encore que dans la vie ordinaire ; car en plus de blesser et d’affliger le juste, il induit le public à la faute en l’empêchant de connaître ses justes positions et de s’instruire de ses bonnes actions. De même, quand un homme de médias jette l’opprobre sur une collectivité de braves gens,  en plus de la médisance qu’il y a là, il induit les autres à la faute et les empêche de prendre exemple sur ladite collectivité.

Mauvaise polémique et controverse au nom du Ciel Mauvaise polémique et controverse au nom du Ciel Repentir et pardon Dire la vérité Tromperie La mitsva de travestir la vérité pour préserver la paix Travestir la vérité pour préserver la pudeur, la modestie, ou pour ne pas s’exposer à la honte « Tu ne convoiteras point » Reconnaissance Participer à la joie et à la peine d’autrui Bienfaisance par la parole Adresser son chalom à autrui Être sensible à son prochain, afin de ne pas le peiner Courtoisie Paroles grossières Hospitalité Voisins La bonne société