Travailler à ‘Hol hamo’ed : ce qui est permis, ce qui est interdit Les mitsvot de ‘Hol hamo’ed ‘Hol hamo’ed Second jour de Yom tov en diaspora Mitsva du pèlerinage à Jérusalem ; aller saluer le rabbin Erouv tavchilin pour les besoins des préparatifs de Chabbat pendant Yom tov Quelques-unes des lois de Yom tov Travaux permis et interdits État d’esprit festif, interdit du deuil et de la peine Réjouir les pauvres et les personnes seules La joie au sein de sa famille Se réjouir et réjouir autrui La mitsva de la joie Ce qui différencie les fêtes du Chabbat L’étude de la Torah pendant la fête Signification des fêtes Les fêtes de l’année La néoménie (Roch ‘hodech)
- Chabbat, fêtes et solennités -

Travail destiné à éviter une perte

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L’interdit de travailler à ‘Hol hamo’ed se traduit par un manque à gagner, puisque chaque jour où l’on s’abstient de travailler, on en perd le salaire. Cependant, cela n’est pas considéré comme une perte à proprement parler, mais bien comme un manque à gagner. Et telle est bien la mitsva de la fête que de cesser le travail, à ‘Hol hamo’ed, afin d’être disponible pour la joie festive et pour l’étude de la Torah.

Mais quand on risque de perdre de l’argent ou un bien dont on a déjà la possession, ou que, si l’on s’abstient de travailler, on s’expose à être renvoyé, il est permis de travailler afin de se préserver d’une telle perte. Toutefois, le travail que l’on aurait pu accomplir avant la fête, et que l’on a remis à ‘Hol hamo’ed, il est interdit de l’accomplir alors, car c’est par sa propre négligence que l’on se sera infligé cette perte.