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- Chabbat, fêtes et solennités -

Quelques-unes des lois de Yom tov

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Quelques-unes des lois de Yom tov

De même que les interdits de Chabbat et de Yom tov sont semblables, à l’exception de quelques différences, les obligations positives sont semblables, le Chabbat et le Yom tov, à l’exception de quelques différences. Signalons les principales d’entre elles :

Allumage des veilleuses : la bénédiction est Baroukh… acher qidechanou bé-mitsvotav vétsivanou lehadliq ner chel Yom tov (« Béni sois-Tu… qui nous as sanctifiés par tes commandements et nous as ordonné d’allumer la veilleuse de Yom tov », au lieu de « la veilleuse de Chabbat »). Si l’on n’a pas réussi à faire l’allumage avant le coucher du soleil, le Chabbat, il est interdit d’y procéder ensuite ; mais le Yom tov, il sera permis d’allumer les veilleuses, puisque l’allumage est autorisé les jours de Yom tov, à condition de prendre la flamme à un feu qui est déjà allumé. Quand la fête tombe à l’issue de Chabbat, l’heure d’allumage des veilleuses est après la tombée de la nuit.

On a coutume de laisser une veilleuse allumée pendant tout le Yom tov, afin qu’on puisse y prendre du feu pour d’autres allumages – puisque, le Yom tov, il est permis de transmettre le feu d’une flamme à l’autre, tandis qu’il est interdit d’allumer une flamme nouvelle.

Les prières de Yom tov ressemblent à celles du Chabbat, en ce que l’on y mentionne la sainteté du jour ; le Yom tov, on y ajoute le Hallel, et davantage de solennité.

Dans le Birkat hamazon, on ajoute, le Chabbat, le passage commençant par Retsé ; le Yom tov et à ‘Hol hamo’ed, le passage additionnel commence par Ya’alé véyavo.

Yizkor (souvenir de l’âme des défunts) : lors de certaines fêtes, la coutume ashkénaze est, le cas échéant, d’évoquer le souvenir de l’âme de ses parents défunts et de promettre un don pour l’élévation de leur âme. Cela, afin que la joie de la fête soit reliée au souvenir de ses parents et à leur héritage.

Havdala : c’est une mitsva que de prendre congé du Yom tov par une Havdala (rite de séparation). On n’y récite que deux bénédictions : celle du vin, et celle de séparation proprement dite (Hamavdil).

Isrou ‘hag : c’est le jour qui suit la fin de la fête. L’illumination de celle-ci s’y poursuit encore. Aussi est-ce une bonne coutume que d’y faire un repas un peu plus raffiné que d’ordinaire. De cette façon, on crée un lien entre la fête et les jours ouvrables, et la lumière de la fête, ainsi que sa sainteté, se prolongent au sein des repas de toute l’année.

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