Erouv tavchilin pour les besoins des préparatifs de Chabbat pendant Yom tov Quelques-unes des lois de Yom tov Travaux permis et interdits État d’esprit festif, interdit du deuil et de la peine Réjouir les pauvres et les personnes seules La joie au sein de sa famille Se réjouir et réjouir autrui La mitsva de la joie Ce qui différencie les fêtes du Chabbat L’étude de la Torah pendant la fête Signification des fêtes Les fêtes de l’année La néoménie (Roch ‘hodech)
- Chabbat, fêtes et solennités -

Mitsva du pèlerinage à Jérusalem ; aller saluer le rabbin

1 minutes à lire

Mitsva du pèlerinage à Jérusalem ; aller saluer le rabbin

À l’époque du Temple, c’était une mitsva, lors des trois fêtes, que de se rendre au Temple et d’y offrir trois sacrifices : holocauste d’apparition (‘olat réïya), rémunératoire festif (chelamé ha’haguiga) et rémunératoire de joie (chelamé sim’ha). La mitsva du pèlerinage était une obligation pour les hommes, une faculté pour les femmes ; cela, afin que, en cas de nécessité, les femmes pussent rester à la maison et s’occuper des bébés, des malades et des personnes âgées.

Depuis la destruction du Temple, la mitsva est caduque. Malgré cela, les Juifs se sont efforcés de se rendre en pèlerinage à Jérusalem, dans les environs du site du Temple, car la sainteté n’a jamais quitté ce lieu. Quiconque fait cela accomplit une mitsva.

C’est une mitsva que d’aller saluer son rabbin durant la fête, afin de se lier à lui et de recevoir son enseignement de Torah et ses recommandations. Cette mitsva a une certaine ressemblance avec le pèlerinage de Jérusalem, car les sages enseignent : « Quiconque va saluer son maître, c’est comme s’il allait à la rencontre de la Présence divine. »

La forme essentielle de cette mitsva consiste à aller écouter le cours de Torah du rabbin. Toutefois, par le seul fait de saluer le rabbin en lui souhaitant ‘hag saméa’h (« joyeuse fête »), on accomplit la mitsva.

 

Second jour de Yom tov en diaspora Second jour de Yom tov en diaspora ‘Hol hamo’ed Les mitsvot de ‘Hol hamo’ed Travailler à ‘Hol hamo’ed : ce qui est permis, ce qui est interdit Travail destiné à éviter une perte