Les obligations de l’homme envers son prochain

Mitsva du parapet

< 1 minutes à lire

C’est une mitsva que de construire un parapet à son toit, afin d’empêcher qu’on en chute ; comme il est dit : « Quand tu construiras une maison neuve, tu feras un parapet à ton toit, et tu n’entacheras pas ta maison de sang, si quelqu’un en tombait » (Dt 22, 8).

Le type de toit qui oblige à la construction d’un parapet (ma’aqé) est un toit où il est d’usage de monter quelquefois, et où un danger de chute existe. De même, une fosse, un puits que l’on a dans sa cour, et dont la profondeur est d’au moins dix téfa’him (76 cm) requièrent une balustrade afin de préserver du danger ; de même, une cour bâtie sur deux niveaux, et entre les niveaux desquels il existe une différence de plus de dix téfa’him ; ou un escalier permettant de monter ou descendre dix téfa’him ou plus. Dans les lieux publics, il faut être plus rigoureux encore quant à l’élimination des obstacles.