Les obligations de l’homme envers son prochain

Mesures préventives de la fraude fiscale et du blanchiment d’argent

< 1 minutes à lire

Dans le cadre de la vie moderne, du marché global et de l’Internet, s’est développé un marché noir de prodigieuse envergure, par lequel s’échangent la drogue, des armes, s’organisent les paris, la prostitution, les contrefaçons et la traite d’êtres humains. Pour faire face à la fraude et au crime organisé, qui corrompent la société, de nombreux règlements ont été pris, obligeant à inscrire les transferts de capitaux par le biais de comptes bancaires connus et surveillés ; cela, afin d’empêcher les délinquants de se servir de leur argent pour continuer leur commerce illicite et de corrompre le pouvoir par le versement de pots-de-vin. Par conséquent, c’est une obligation impérieuse que de respecter tous les règlements qui ont été pris contre la fraude fiscale et le blanchiment d’argent. Il est notamment obligatoire de rendre compte de tout transfert de capital d’un pays à un autre ; et il est interdit de payer en espèces au-delà de la somme fixée par la loi2.

 

2 En 5780 (2020), cette limite est de onze mille shekels, pour un paiement dans lequel une entreprise est partie prenante, ou cinquante mille shekels pour un paiement de particulier à particulier (par exemple si l’on vend sa voiture, ou que l’on offre un cadeau à son prochain). Ce n’est qu’entre proches parents que l’on peut transmettre, en espèces, des sommes plus importantes.