- Les obligations de l’homme envers son prochain -

Directives de la Torah en matière d’aide aux pauvres

0,5 minutes à lire

Directives de la Torah en matière d’aide aux pauvres

La Torah a ordonné d’aider les pauvres de quatre façons. La première, qui était jadis principale, par les cinq dons que les pauvres recueillaient d’eux-mêmes, dans les champs. La seconde était le don d’argent (tsédaqa, litt. « justice ») destiné à compléter, en cas de nécessité, la satisfaction de leur besoins élémentaires. La troisième est la dîme du pauvre : après que les propriétaires des champs avaient rassemblé leur récolte, ils procédaient aux prélèvements (teroumot) et aux dîmes (ma’asserot) ; et, la troisième et la sixième années d’un cycle de sept années, ils prélevaient la dîme du pauvre (ma’asser ‘ani), grâce à laquelle les pauvres pouvaient vivre dans une relative aisance pendant deux années sur sept. La quatrième aide apportée aux pauvres consistait en leur participation aux festivités joyeuses et aux repas de fête des pèlerins venus au Temple de Jérusalem, quand ils mangeaient des fruits de la seconde dîme (ma’asser chéni) et de la viande des sacrifices (ma’asser behema)

Les cinq dons réservés aux pauvres Les cinq dons réservés aux pauvres Signification des cinq dons, autrefois Les principes que nous enseignent les dons agricoles La mitsva de la tsédaqa La dîme du pauvre (ma’asser ‘ani) Ordre de priorité La responsabilité s’étend par cercles Des administrateurs de tsédaqa qui soient perspicaces et justes Est-ce une mitsva que de donner la tsédaqa à un pauvre dans la rue ? La mitsva, dans un pays où l’aide sociale est développée Mitsva de la dîme d’argent (ma’asser kessafim) Affectation du ma’asser La richesse qui découle du ma’asser Boîtes de tsédaqa que l’on a chez soi La mitsva de prêter Remise de dettes (chemitat kessafim) Caisse de prêt (gma’h) Interdit du prêt à intérêt Héter ‘isqa Découvert bancaire Bénédiction pour tous les peuples et toutes les familles