La mitsva de prêter Boîtes de tsédaqa que l’on a chez soi La richesse qui découle du ma’asser Affectation du ma’asser Mitsva de la dîme d’argent (ma’asser kessafim) La mitsva, dans un pays où l’aide sociale est développée Est-ce une mitsva que de donner la tsédaqa à un pauvre dans la rue ? Des administrateurs de tsédaqa qui soient perspicaces et justes La responsabilité s’étend par cercles Ordre de priorité La dîme du pauvre (ma’asser ‘ani) La mitsva de la tsédaqa Les principes que nous enseignent les dons agricoles Signification des cinq dons, autrefois Les cinq dons réservés aux pauvres
- Les obligations de l’homme envers son prochain -

Remise de dettes (chemitat kessafim)

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Remise de dettes (chemitat kessafim)

Afin d’aider les pauvres qui n’y sont point parvenus à se libérer du joug de dettes par lesquelles ils risquent de s’effondrer, la Torah a prescrit que, tous les sept ans, à la fin de l’année de chemita, toutes les dettes seraient annulées.

À la fin de la période du second Temple, quand les malheurs s’accrurent et que nombreux devinrent ceux qui ne pouvaient plus rembourser leurs emprunts à temps, les riches s’abstenaient de prêter aux pauvres, de façon à ne pas perdre leur argent pendant la chemita. Il fut donc décidé que ceux qui voulaient que leur créance ne fût pas annulée prêteraient par le biais du beit-din, au moyen d’un document nommé prozboul (transfert de dette à la collectivité). De cette manière, leur créance n’était pas annulée pendant la chemita. Il convient que les sages et les dirigeants d’Israël réfléchissent aujourd’hui aux moyens qui pourraient être mis en œuvre afin d’appliquer l’idée que recèle la mitsva de remise de dettes.

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