Les cinq dons réservés aux pauvres
- Les obligations de l’homme envers son prochain -

Signification des cinq dons, autrefois

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Signification des cinq dons, autrefois

Si l’on s’en tient à une estimation prudente, les dons agricoles faits aux pauvres s’élevaient à environ 3 ou 4 % de la récolte, un peu plus pour les raisins. Jadis, quand l’agriculture représentait plus de 90 % de la fortune, les dons agricoles pouvaient soutenir avec peine environ 5 % de la population, ce qui représente environ la proportion de pauvres qui n’avaient pas de quoi manger, cela dans une situation économique et sociale normale en ces temps-là. De nos jours, suite à la baisse considérable du prix de la nourriture, et à l’importante hausse du niveau de vie, la valeur de la production agricole dans les champs s’élève environ à 1 % seulement du produit intérieur brut ; et il n’est plus intéressant pour les pauvres de glaner ce qui leur revient dans les champs. Dès lors, les propriétaires de champs peuvent garder ces portions. Toutefois, d’après les principes qui émanent des mitsvot relatives aux dons agricoles voués aux pauvres, nous pouvons apprendre de quelle manière il convient d’aider ces derniers.

Les principes que nous enseignent les dons agricoles Les principes que nous enseignent les dons agricoles La mitsva de la tsédaqa La dîme du pauvre (ma’asser ‘ani) Ordre de priorité La responsabilité s’étend par cercles Des administrateurs de tsédaqa qui soient perspicaces et justes Est-ce une mitsva que de donner la tsédaqa à un pauvre dans la rue ? La mitsva, dans un pays où l’aide sociale est développée Mitsva de la dîme d’argent (ma’asser kessafim) Affectation du ma’asser La richesse qui découle du ma’asser Boîtes de tsédaqa que l’on a chez soi La mitsva de prêter Remise de dettes (chemitat kessafim) Caisse de prêt (gma’h) Interdit du prêt à intérêt Héter ‘isqa Découvert bancaire Bénédiction pour tous les peuples et toutes les familles