Héter ‘isqa Interdit du prêt à intérêt Caisse de prêt (gma’h) Remise de dettes (chemitat kessafim) La mitsva de prêter Boîtes de tsédaqa que l’on a chez soi La richesse qui découle du ma’asser Affectation du ma’asser Mitsva de la dîme d’argent (ma’asser kessafim) La mitsva, dans un pays où l’aide sociale est développée Est-ce une mitsva que de donner la tsédaqa à un pauvre dans la rue ? Des administrateurs de tsédaqa qui soient perspicaces et justes La responsabilité s’étend par cercles Ordre de priorité La dîme du pauvre (ma’asser ‘ani) La mitsva de la tsédaqa Les principes que nous enseignent les dons agricoles Signification des cinq dons, autrefois Les cinq dons réservés aux pauvres
- Les obligations de l’homme envers son prochain -

Découvert bancaire

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Découvert bancaire

Selon certains auteurs, il est interdit d’être à découvert à la banque, si ce n’est dans un but d’affaire. En effet, le héter ‘isqa dont usent les banques israéliennes est destiné à faire des bénéfices ; mais quand on tire de l’argent pour financer des dépenses ordinaires, telles que l’achat de nourriture, de vêtements ou d’autres biens d’usage courant, le prêt à intérêt est interdit. D’autres estiment, en se fondant sur divers arguments, que la chose est permise en cas de besoin.

Mais tout le monde s’accorde à dire que, si l’on a un compte d’épargne, il est permis d’acheter des produits courants en se mettant à découvert pour une courte période. En effet, cette dépense sera considérée comme une nécessité d’affaires. Car si l’on devait casser son compte d’épargne, on essuierait une perte financière plus grande ; de sorte qu’il est plus rentable d’être à découvert pour une courte période, et de payer un certain intérêt pour cela, que de s’infliger la perte que causerait la rupture du compte d’épargne.

Bénédiction pour tous les peuples et toutes les familles Bénédiction pour tous les peuples et toutes les familles