- Les obligations de l’homme envers son prochain -

Les cinq dons réservés aux pauvres

1 minutes à lire

Les cinq dons réservés aux pauvres

La Torah a ordonné aux agriculteurs d’associer les pauvres à la bénédiction de leur récolte, et de laisser à leur intention cinq dons (matanot).

1) Le coin du champ (péa) : à l’extrémité du champ, ou à l’extrémité de chaque rang, il faut laisser une mesure d’environ 2 % à l’intention des pauvres. 2) La récolte oubliée (chikhe’ha) : pendant le rassemblement de la récolte, il arrive qu’on oublie de moissonner ou de cueillir en tel endroit du champ ; de même, il arrive qu’on oublie un peu du produit qui a été moissonné ou cueilli. Si le produit oublié est inférieur à la mesure de quatorze litres environ, il faut le laisser aux pauvres. 3) La glane (léqet) : au cours de la moisson, des épis isolés tombent à terre ; il faut les abandonner aux pauvres. 4) Les grains isolés (péret: au cours des vendanges, des grains de raisins isolés tombent à terre ; il faut les abandonner aux pauvres. 5) Les petites grappes (‘olelot) : ce sont les grappes de raisin de petite taille, qu’il faut, là encore, laisser aux pauvres.

Signification des cinq dons, autrefois Signification des cinq dons, autrefois Les principes que nous enseignent les dons agricoles La mitsva de la tsédaqa La dîme du pauvre (ma’asser ‘ani) Ordre de priorité La responsabilité s’étend par cercles Des administrateurs de tsédaqa qui soient perspicaces et justes Est-ce une mitsva que de donner la tsédaqa à un pauvre dans la rue ? La mitsva, dans un pays où l’aide sociale est développée Mitsva de la dîme d’argent (ma’asser kessafim) Affectation du ma’asser La richesse qui découle du ma’asser Boîtes de tsédaqa que l’on a chez soi La mitsva de prêter Remise de dettes (chemitat kessafim) Caisse de prêt (gma’h) Interdit du prêt à intérêt Héter ‘isqa Découvert bancaire Bénédiction pour tous les peuples et toutes les familles