Découvert bancaire Héter ‘isqa Interdit du prêt à intérêt Caisse de prêt (gma’h) Remise de dettes (chemitat kessafim) La mitsva de prêter Boîtes de tsédaqa que l’on a chez soi La richesse qui découle du ma’asser Affectation du ma’asser Mitsva de la dîme d’argent (ma’asser kessafim) La mitsva, dans un pays où l’aide sociale est développée Est-ce une mitsva que de donner la tsédaqa à un pauvre dans la rue ? Des administrateurs de tsédaqa qui soient perspicaces et justes La responsabilité s’étend par cercles Ordre de priorité La dîme du pauvre (ma’asser ‘ani) La mitsva de la tsédaqa Les principes que nous enseignent les dons agricoles Signification des cinq dons, autrefois Les cinq dons réservés aux pauvres
- Les obligations de l’homme envers son prochain -

Bénédiction pour tous les peuples et toutes les familles

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Bénédiction pour tous les peuples et toutes les familles

La destinée du peuple d’Israël est d’apporter la bénédiction à tous les peuples et à toutes les familles, comme il fut dit à Abraham notre père : « Et seront bénies par toi toutes les familles de la terre » (Gn 12, 3) ; à Isaac notre père : « Et tous les peuples de la terre seront bénis par ta descendance » (Gn 26, 4) ; et à Jacob notre père : « Se béniront par toi toutes les familles de la terre, et par ta descendance » (Gn 28, 14). Aussi, plus le peuple juif en aura la possibilité, plus grandes seront la mitsva et l’obligation d’aider d’autres peuples. Et plus un peuple est proche d’Israël en esprit, plus grande est l’obligation.

Comme nous l’avons vu, la tsédaqa, dans sa forme la meilleure, consiste à aider les pauvres à se sustenter par eux-mêmes. Aussi l’aide internationale doit-elle s’appliquer principalement au développement de l’économie, de l’agriculture, de la production, de l’éducation, de la santé et d’autres besoins semblables.