La richesse qui découle du ma’asser Affectation du ma’asser Mitsva de la dîme d’argent (ma’asser kessafim) La mitsva, dans un pays où l’aide sociale est développée Est-ce une mitsva que de donner la tsédaqa à un pauvre dans la rue ? Des administrateurs de tsédaqa qui soient perspicaces et justes La responsabilité s’étend par cercles Ordre de priorité La dîme du pauvre (ma’asser ‘ani) La mitsva de la tsédaqa Les principes que nous enseignent les dons agricoles Signification des cinq dons, autrefois Les cinq dons réservés aux pauvres
- Les obligations de l’homme envers son prochain -

Boîtes de tsédaqa que l’on a chez soi

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Boîtes de tsédaqa que l’on a chez soi

Certains ont coutume d’avoir chez eux une boîte de tsédaqa et d’y mettre chaque jour, avant la prière ou à quelque autre moment, une petite pièce. Au bout d’un certain temps, ils changent les petites pièces en billets, qu’ils donnent aux yéchivot ou aux pauvres. Et bien que la mitsva consiste essentiellement à donner chaque mois le dixième ou le cinquième de la somme de ses revenus, certains donnent à leur pratique un supplément de perfection (hidour), en donnant aussi de cette manière, afin de s’habituer à donner pour de saints objectifs.

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