Est-ce une mitsva que de donner la tsédaqa à un pauvre dans la rue ? Des administrateurs de tsédaqa qui soient perspicaces et justes La responsabilité s’étend par cercles Ordre de priorité La dîme du pauvre (ma’asser ‘ani) La mitsva de la tsédaqa Les principes que nous enseignent les dons agricoles Signification des cinq dons, autrefois Les cinq dons réservés aux pauvres
- Les obligations de l’homme envers son prochain -

La mitsva, dans un pays où l’aide sociale est développée

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La mitsva, dans un pays où l’aide sociale est développée

Quand l’État aide les pauvres et les autres personnes nécessiteuses au moyen des divers services gouvernementaux, chaque citoyen est associé à un haut degré à la mitsva de tsédaqa. Cependant, dans le même temps, la responsabilité incombe à chaque citoyen de veiller à ce que les lois et les règlements soient conçus de telle sorte qu’ils aident les nécessiteux à subsister, non à vivre d’allocations ou, plus grave encore, à donner à l’administration de faux renseignements afin de bénéficier des budgets d’aide sociale. Bien plus, il faut veiller à ce que les services d’aide sociale ne déchargent pas de leur responsabilité les proches, amis et voisins ; cela, tant parce que la mitsva fondamentale d’aider leur proche leur incombe, que parce qu’ils sont les mieux à même de l’aider comme il convient. En effet, seuls ceux qui connaissent le pauvre ou le nécessiteux depuis des années sont réellement en mesure de l’aider à trouver du travail, de le protéger d’un emploi mauvais, et de guider ses enfants afin qu’ils sortent du cercle de la pauvreté.

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