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Maguid : le récit

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Maguid : le récit

On verse la seconde coupe avant de réciter la Haggada, afin que tout le récit de la sortie d’Égypte se dise sur une coupe de vin. Aux petits enfants, il est préférable de servir la seconde coupe peu avant qu’elle ne soit bue, afin qu’elle ne se renverse pas.

Pendant la récitation de la Haggada, la matsa doit être découverte. Cependant, au moment où on lève la coupe en chantant les passages que sont Véhi ché’amda (« Et c’est ce qui nous a soutenus, nos pères et nous… ») et Léfikhakh ana’hnou ‘hayavim lehodot (« Aussi sommes-nous tenus de louer… »), ainsi que pendant la bénédiction de la Délivrance qui précède immédiatement la consommation de la seconde coupe, on couvre les matsot.

Quand on dit : Matsa zo, ché-anou okhelim (« Cette matsa, que nous mangeons… »), le maître de céans lève la matsa afin de la montrer à tous les convives ; et quand on dit : Maror zé, ché-anou okhelim (« Ces herbes amères, que nous mangeons »), le maître de céans lève le maror.

Dans de nombreuses familles, il est d’usage que tous les convives lisent ensemble la Haggada. Une autre possibilité est que le maître de céans, ou un autre convive, lise la Haggada à voix haute, tandis que les autres l’écoutent. C’est au maître de céans de fixer le rythme de récitation et les moments de pause où l’on ajoute des explications.

Après avoir achevé le récit de la sortie d’Égypte et la première partie du Hallel, on prononce la bénédiction de la Délivrance et l’on boit la seconde coupe.

Mitsva de la consommation de la matsa Mitsva de la consommation de la matsa Mitsva de consommer le maror et le korekh Repas L’afikoman Conclusion du Séder