Boissons alcoolisées Interdits sévères relatifs au vin des non-Juifs Lait et fromage des non-Juifs Malade dépendant Plats cuits par des non-Juifs Pain des non-Juifs Interdits relatifs à la nourriture des non-Juifs Aliments dangereux et mises en garde diététiques Séparation du carné et du lacté dans la cuisine Ne pas manger de lait après la viande, et inversement L’interdit du mélange de viande et de lait Le lait Les œufs Dons aux prêtres sur les viandes Interdit du sang et cachérisation de la viande Le nerf sciatique Graisses interdites (‘hélev) Viande cachère et ‘halaq Abattage Espèces autorisées, espèces interdites La consommation de viande Interdit des insectes et des vers Prélèvement de la ‘hala Les prélèvements et les dîmes, de nos jours Prélèvements et dîmes Hybrides de la vigne Récolte nouvelle (‘hadach) et fruits du jeune arbre (‘orla)
- Obligations de l’homme envers Dieu -

Trinquer, participer aux fêtes de non-Juifs

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Trinquer, participer aux fêtes de non-Juifs

Comme haie protectrice contre l’assimilation, les sages ont décrété que, lorsque des non-Juifs se réunissent pour trinquer, il est interdit à un Juif de boire ne serait-ce qu’un peu de boisson alcoolisée. Mais il est permis de manger quelque chose du buffet qui est offert à cette occasion, à condition que cela soit cachère. S’il s’agit d’une réunion de Juifs à laquelle participent des non-Juifs, il est également permis de prendre une boisson alcoolisée, puisque la majorité des participants sont juifs.

À une fête essentiellement fréquentée par des non-Juifs, quand un repas est servi, il est même interdit, en tant que haie protectrice contre l’assimilation, de manger une nourriture cachère. Au titre de ces fêtes sont compris un mariage, une fête donnée à l’occasion d’une naissance, et à plus forte raison un repas donné en l’honneur d’une fête religieuse, telle que Noël, la Saint-Sylvestre ou l’Aïd el-Kebir. Mais à un repas ordinaire, qui n’a pas de caractère festif particulier, il est permis d’être invité chez un non-Juif ou de participer avec lui à un repas, à condition que la nourriture soit cachère, et que le Juif ait soin de ne pas boire d’alcool.

Si le fait de ne pas participer au mariage ou à telle fête est de nature à porter profondément atteinte à l’amitié unissant un Juif et un non-Juif, les décisionnaires sont partagés quant au fait de savoir s’il est permis d’y prendre part et de goûter ceux des aliments qui sont cachères. En pratique, l’attitude qu’il est convenu d’adopter est de s’efforcer de trouver une excuse, autant qu’il est possible, pour n’y pas participer, et d’offrir un beau cadeau, avec des vœux sincères, au lieu de venir à la fête. Quand on ne peut se dérober, on participe de la manière minimale afin de ne pas causer d’hostilité et de maintenir de bonnes relations, et l’on s’abstient de toute boisson alcoolisée.

 

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