Les quatre espèces et l’unité d’Israël Dormir dans la souka Le malade et la personne qui souffrirait de son séjour sont dispensés Mitsva de manger dans la souka Mitsva de résider dans la souka Quelques règles relatives à la souka Toit de branchages et de feuillages : sekhakh valide Coutume de la réception des hôtes (ouchpizin) Israël et les nations La souka, lumière enveloppante (or maqif) Souvenir des nuées de gloire et de la providence divine Significations de la souka Mitsva de la souka – habitation temporaire Fête de la récolte et de la joie
- Chabbat, fêtes et solennités -

Lois des quatre espèces

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Lois des quatre espèces

La mitsva consiste à prendre en main un cédrat, une branche de palmier, trois branches de myrte et deux branches de saule. On doit réunir la branche de palmier, les branches de myrte et de saule ensemble ; puisque la branche palmier est la plus grande des quatre espèces, la mitsva est nommée d’après lui : nétilat loulav (« élévation de la branche de palmier »).

On prend le loulavb chaque jour de Soukot, sauf le Chabbat. La mitsva s’accomplit le jour, non la nuit, et il est préférable de l’accomplir dès le matin. Pour les femmes, la prise du loulav est une mitsva (au sens d’action souhaitable et louable), mais non une obligation.

On peut accomplir la mitsva avec un loulav que l’on a emprunté, à l’exception du premier jour : ce jour-là, il faut avoir ses quatre espèces à soi. Si l’on n’en a pas, il faut se faire donner le loulav qu’on emprunte, puis le donner en retour après avoir accompli la mitsva.

Si l’on prend un loulav volé, ce n’est pas une mitsva mais une faute que l’on fait.

 

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b Au sens large, on entend par le mot loulav l’ensemble des quatre espèces.

Conditions de validité des quatre espèces Conditions de validité des quatre espèces Bénédiction du loulav ; comment l’agiter Hocha’na rabba Chemini ‘atséret Sim’hat Torah