Conclusion de l’office Néfilat apayim et supplications (Ta’hanounim) 7. La bénédiction des prêtres (birkat cohanim) Répétition de la ‘Amida par l’officiant Ordonnancement de la prière du matin Deuxième et troisième paragraphes du Chéma La mitsva de réciter le Chéma Tsitsit et téphilines pendant l’office de Cha’harit
- Obligations de l’homme envers Dieu -

Qui est apte à être officiant

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Qui est apte à être officiant

L’officiant conduit la prière comme délégué de l’assemblée. C’est pourquoi il est appelé chalia’h tsibour (envoyé de l’assemblée). Parfois, tous les fidèles récitent la prière avec lui, tandis qu’il en fixe le rythme ; d’autres fois, quand il s’agit de textes requérant la présence d’un minyan – comme la répétition de la ‘Amida ou le Qadich –, il est le seul à réciter, et les fidèles répondent amen.

Il faut choisir comme officiant un homme convenable, agréé par ses pairs, dont la voix soit agréable, et qui ait l’habitude de lire sans erreurs. Le Chabbat, les jours de fête, il faut s’efforcer d’avoir des officiants dotés de talents musicaux et d’une belle voix, afin qu’ils puissent chanter agréablement, pour l’honneur du Ciel, les passages habituellement chantés.

Pour les offices des jours redoutables et des jeûnes, il faut apporter un soin particulier au choix de l’officiant. Celui-ci doit craindre l’Éternel, être humble, jouir d’une bonne renommée. Il doit être habillé de façon honorable, comme il convient à celui qui prie devant l’Éternel sur délégation de l’assemblée.

Il est interdit au fidèle de s’arroger la fonction d’officiant : il faut que l’assemblée, ou l’administrateur qui en est le représentant, le lui demande. Si quelqu’un officie sans le consentement de l’assemblée, on ne répond pas amen à sa suite.

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