Mitsva de la mézouza Noms saints Livres imprimés Honneur dû à la synagogue et au rouleau de la Torah Le rouleau de la Torah
- Obligations de l’homme envers Dieu -

Lois de la mézouza

1 minutes à lire

Lois de la mézouza

On fixe la mézouza du côté droit quand on entre dans la maison ou dans la pièce, dans le tiers supérieur du chambranle. Avant de fixer la mézouza, on prononce la bénédiction : Baroukh Ata, Ado-naï, Elo-hénou, Mélekh ha‘olam, acher qidechanou be-mitsvotav vétsivanou liqboa’ mézouza (« Béni sois-Tu, Éternel, notre Dieu, Roi de l’univers, qui nous as sanctifiés par tes commandements et nous as ordonné de fixer la mézouza »).

La femme est tenue, comme l’homme, à la mitsva de la mézouza.

Certains ont coutume de fixer droit la mézouza, verticalement ; d’autres la fixent en diagonale, le haut vers l’intérieur de la maison ou de la chambre. C’est une mitsva que de ne pas résider dans une chambre non pourvue d’une mézouza, ne serait-ce que pour une nuit.

On a l’usage d’envelopper le parchemin de la mézouza dans un plastique étanche, et de l’introduire dans un petit étui ; ainsi, on fixe la mézouza de façon qu’elle soit préservée, et ne soit point sujette à être avilie.

La mitsva de fixer la mézouza s’applique à l’entrée de la maison et à la porte de chaque pièce, à l’exception de celles dont il est impossible de faire usage pour des choses saintes. Ainsi des toilettes et de la salle de bain, qui sont exemptes de mézouza. Une petite pièce, dont les dimensions sont inférieures à quatre amot sur quatre (1,8 m sur 1,8), est dispensée de mézouza, puisqu’elle ne peut servir de pièce d’habitation. Un magasin, un bureau, bien qu’ils ne servent pas à l’habitation, sont considérés comme « maison », puisqu’on y entrepose de la marchandise et du matériel : ils requièrent donc une mézouza.

Mitsva des téphilines Mitsva des téphilines Lois des téphilines La kippa La mitsva des tsitsit Les femmes, les tsitsit et les téphilines Sur les différences entre hommes et femmes