Honneur dû à la synagogue et au rouleau de la Torah Le rouleau de la Torah
- Obligations de l’homme envers Dieu -

Livres imprimés

1 minutes à lire

Livres imprimés

Quoique la sainteté des livres religieux imprimés soit loin d’atteindre celle du rouleau de la Torah écrit à l’encre sur parchemin, eux aussi sont empreints de sainteté, et nous devons les traiter avec honneur. Si l’on veut poser un tel livre, ou le tendre à autrui, on ne le jettera pas : on le posera avec respect. On ne pose pas des livres saints sur le sol ; si un tel livre est tombé à terre, la coutume pieuse est, lorsqu’on le ramasse, de l’embrasser. On n’entre pas aux toilettes avec un livre saint. Mais si ce livre est entièrement caché dans sa poche ou dans son cartable, c’est permis.

Le Pentateuque (‘Houmach) a un degré de sainteté plus élevé que celui des autres livres religieux – livres des Prophètes et Hagiographes compris – ; par conséquent, lorsqu’on place des livres saints les uns au-dessus des autres, les Pentateuques doivent être mis au-dessus.

Quand un rouleau de la Torah est devenu trop usé pour servir à la lecture, on l’enfouit dans un écrin d’argile et on l’enterre dans le tombeau d’un érudit. Mais les livres de Torah imprimés, quand ils ne servent plus, sont mis à la guenizaa ordinaire, où les textes saints usés sont enterrés, sans marques supplémentaires d’honneur.

 

a Dépôt où sont enterrés les écrits saints usagés.

Noms saints Noms saints Mitsva de la mézouza Lois de la mézouza Mitsva des téphilines Lois des téphilines La kippa La mitsva des tsitsit Les femmes, les tsitsit et les téphilines Sur les différences entre hommes et femmes