Personnes que l’on veut honorer, parmi les participants Lois de la circoncision
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Cérémonie de la circoncision

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Cérémonie de la circoncision

Après que le bébé a été placé sur les genoux du sandaq, le circonciseur récite cette bénédiction : Baroukh Ata, Ado-naï, Élo-hénou, Mélekh ha’olam, acher qidechanou bé-mitsvotav, vétsivanou ‘al hamila (« Béni sois-Tu, Éternel, notre Dieu, Roi de l’univers, qui nous as sanctifiés par tes commandements, et nous a ordonné la circoncision »). Immédiatement, le circonciseur coupe le prépuce ; et, avant même d’avoir achevé le retrait de la fine peau du prépuce (peri’a), le père commence à réciter deux bénédictions : Baroukh… acher qidechanou bé-mitsvotav, vétsivanou lehakhnisso bi-vrito chel Avraham avinou (« Béni sois-Tu, Éternel, notre Dieu, Roi de l’univers, qui nous as sanctifiés par tes commandements, et nous a ordonné de l’introduire dans l’alliance d’Abraham notre père ») ; et : Baroukh… chéhé’héyanou, vé-qiyemanou, vé-higui’anou lazemane hazé (« Béni sois-Tu, Éternel, notre Dieu, Roi de l’univers, qui nous as fait vivre, nous as maintenus et nous as fait parvenir à cette époque »).

Après la circoncision, on fait passer le nourrisson à l’homme chargé de le tenir pendant les bénédictions (‘amida livrakhot), et l’on remplit la coupe de vin. Celui à qui l’on a confié l’honneur de réciter les berakhot prononce sur la coupe deux bénédictions. La première sur le vin lui-même ; la seconde : « Béni sois-Tu, Éternel, notre Dieu, Roi de l’univers, qui as sanctifié le bien-aimé dès le ventre (maternel), fixé une loi dans sa chair et scellé ses descendants par le signe de l’alliance sainte. Aussi, par ce mérite, Dieu vivant, notre lot et notre rocher, ordonne de délivrer du néant cette chair bien aimée, en faveur de ton alliance qui est en notre chair ; béni sois-Tu, Éternel, qui tranches l’alliance. »

Après cela, celui qui a récité les bénédictions continue de prier pour l’enfant, afin qu’il soit préservé du vivant de son père et de sa mère, que ceux-ci s’en réjouissent, et que, par l’effet de l’alliance, sa vie soit renforcée. À ce moment, il énonce le nom de l’enfant, puis le bénit : « De même qu’il est entré dans l’alliance, ainsi, qu’il entre dans la Torah, les commandements, le dais nuptial et les bonnes actions ! »

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