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- Chabbat, fêtes et solennités -

Mitsva de chômer, mitsva d’honorer le jour de Kipour

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Mitsva de chômer, mitsva d’honorer le jour de Kipour

Le jour de Kipour, c’est une mitsva que de cesser tout travail, toute activité profane, de même qu’on le fait le Chabbat.

À l’approche de Kipour, les femmes ont coutume d’allumer des veilleuses en récitant une bénédiction : Baroukh Ata Ado-naï, Elo-hénou, Mélekh ha’olam, acher qidechanou bémitsvotav, vétsivanou lehadliq ner chel Yom hakipourim (« Bénis sois-Tu, Éternel, notre Dieu, Roi de l’univers, qui nous a sanctifiés par tes commandements et nous a ordonné d’allumer la veilleuse du jour de Kipour »). Elles doivent se hâter de procéder à cet allumage, afin d’avoir le temps d’arriver à la synagogue avant la récitation du Kol nidré.

Comme les Chabbats et les fêtes, le jour de Kipour est appelé miqra qodech, convocation sainte (Lv 23, 27). Les Chabbats et les fêtes, la mitsva consiste à faire de ces jours un objet de délice et de les honorer par de bons mets, des boissons savoureuses et des vêtements festifs. Mais à Kipour, où il faut se mortifier, la mitsva de sanctifier ce jour consiste seulement à l’honorer en portant des vêtements festifs ; nombreux sont ceux qui ont coutume de porter, à Kipour, des vêtements blancs, pour faire allusion à la propreté et à la pureté.

À l’approche de Kipour, c’est une mitsva que de nettoyer la maison en l’honneur du jour, et d’étendre sur la table une belle nappe, comme on a coutume de le faire à l’approche de Chabbat.

C’est une mitsva que de se laver en l’honneur de Kipour, comme on le fait à l’approche de Chabbat.

On a coutume de respirer des parfums et de prononcer sur eux la bénédiction d’usage, le jour de Kipour, car ce jour est considéré comme un Yom tov, et c’est une mitsva que d’y faire tout ce qui est propre à l’honorer, du moment que ce n’est pas interdit au titre du jeûne.

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