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Cas dans lesquels il est conseillé de manger et de boire par petites quantités intermittentes

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Cas dans lesquels il est conseillé de manger et de boire par petites quantités intermittentes

Lorsque, d’après la directive des médecins, le malade doit boire, faute de quoi il se mettrait en danger, mais que, pour autant, il n’a pas besoin de boire et de manger d’urgence en grande quantité, certains décisionnaires estiment que, du point de vue halakhique, il est préférable que ce malade boive, toutes les sept minutes, environ 40 millilitres ; et, s’il a besoin de manger, il prendra environ 30 centimètres cubes de nourriture toutes les sept minutes. C’est ce que l’on appelle manger et boire par chi’ourim (très petites quantités, prises par intermittence).

Cependant, quand il est à craindre que boire ou manger par chi’ourim ne risque d’entraîner quelque négligence et quelque atteinte à la santé, le malade devra boire et manger normalement. Par exemple, quand on amène d’urgence une parturiente pour accoucher, elle doit boire sans se limiter. De même, quand la parturiente est fatiguée, il est préférable qu’elle boive normalement, pour qu’elle puisse dormir de façon continue, sans avoir besoin de restée éveillée afin de boire à sa suffisance par chi’ourim. De même, les malades du diabète auxquels il n’a pas été trouvé de solution stable doivent faire très attention à cela ; car s’il est à craindre que, à cause d’une consommation fragmentée, ils ne négligent de manger à leur suffisance, ils doivent prendre leur repas d’un seul tenant. Il leur sera préférable de prier en communauté, à la synagogue, et de manger à intervalles de quelques heures un repas ordinaire, plutôt que de chercher la perfection en mangeant par chi’ourim mais de ne pas venir à la synagogue.

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