Manger et boire, la veille de Yom Kipour
- Chabbat, fêtes et solennités -

Annulation des vœux

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Annulation des vœux

C’est une obligation toranique que d’accomplir ce à quoi l’on s’est obligé par vœu. Et si on ne l’accomplit pas (ou si l’on fait ce que l’on s’est interdit de faire), c’est une grave faute que l’on commet. Si l’on constate que l’on n’a pas la force d’accomplir le vœu que l’on s’est imposé, on doit aller voir un rabbin, pour lui demander d’annuler le vœu en question. Si le rabbin voit qu’il y a une possibilité d’annulation, il s’associera deux autres hommes afin de constituer avec eux un beit-din (tribunal rabbinique) ; alors, il déliera de son vœu le demandeur.

Les bonnes coutumes elles-mêmes, que l’on a pris l’habitude d’observer, sont considérées comme des sortes de vœux ; et de même, l’engagement d’accomplir une mitsva est considéré comme une sorte de vœu. Afin d’entrer dans le jour du jugement en étant lavé de toute crainte de faute à cet égard, on commence le rituel de ce jour par la récitation du Kol nidré, texte par lequel on abolit tous ces engagements, qui sont des formes de vœux. Et comme prolongement à cette annulation, nous déclarons que, à partir de maintenant, les bons projets que nous nous proposerons de réaliser, les bonnes actions que nous commencerons d’accomplir de manière régulière, ne devront pas être considérés comme des vœux. Certains hommes procèdent également au déliement de leurs vœux (hatarat nédarim) à la veille de Roch hachana.

Le jour de Kipour Le jour de Kipour Le service de Yom Kipour, pour la collectivité et pour l’individu La mitsva de la confession (Vidouï) Inclusion des pécheurs dans la prière La mitsva du jeûne Malades dont l’état n’est pas dangereux Malades dont l’état est dangereux Femmes enceintes ou qui allaitent Cas dans lesquels il est conseillé de manger et de boire par petites quantités intermittentes Les quatre autres abstentions Enfants Mitsva de chômer, mitsva d’honorer le jour de Kipour Chidoukhim (rencontres en vue d’un mariage) L’office de Né’ila