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Manger et boire, la veille de Yom Kipour

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Manger et boire, la veille de Yom Kipour

C’est une mitsva que de manger et de boire abondamment, la veille de Kipour, afin de se préparer convenablement au jeûne. De plus, toutes les mitsvot de la Torah – ce qui vaut aussi pour la mitsva de techouva – doivent s’accomplir dans la joie. Simplement, au moment même de la techouva, il est impossible de se réjouir, puisque la techouva consiste essentiellement dans la peine et le regret que l’on éprouve de ses fautes, et c’est bien pourquoi il nous est ordonné de jeûner à Kipour. Aussi est-ce à la veille de Kipour qu’il nous est prescrit de donner expression à la joie, joie de la mitsva de techouva, par le biais de la nourriture et de la boisson.

Même pour ceux qui n’ont pas l’obligation de jeûner – par exemple un malade dont l’état est dangereux –, c’est une mitsva que de manger à la veille de Kipour, afin de donner expression à la joie propre à ce jour et à la joie de la mitsva.

Les parents ont coutume de bénir leurs enfants, quelques instants avant l’entrée de Yom Kipour, afin qu’ils jouissent d’une bonne année, et méritent d’être bons, justes, et de fonder des familles bénies.

Annulation des vœux Annulation des vœux Le jour de Kipour Le service de Yom Kipour, pour la collectivité et pour l’individu La mitsva de la confession (Vidouï) Inclusion des pécheurs dans la prière La mitsva du jeûne Malades dont l’état n’est pas dangereux Malades dont l’état est dangereux Femmes enceintes ou qui allaitent Cas dans lesquels il est conseillé de manger et de boire par petites quantités intermittentes Les quatre autres abstentions Enfants Mitsva de chômer, mitsva d’honorer le jour de Kipour Chidoukhim (rencontres en vue d’un mariage) L’office de Né’ila