Lecture de la Méguila La fête de Pourim Temps de la fête pour les villes ouvertes et pour les villes entourées de murailles Le miracle de Pourim Accomplissement de la mitsva, en pratique La mitsva d’effacer le souvenir d’Amaleq Quelques règles relatives au mois d’adar
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Joie et bienfaisance

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Joie et bienfaisance

C’est une mitsva, à Pourim, que « de faire [de ces jours] des jours de festin et de réjouissance, d’envoi de présents entre l’homme et son prochain, et de dons aux pauvres » (Est 9, 22). De même que le décret d’extermination portait sur l’esprit et sur le corps, de même la joie d’avoir été sauvé doit-elle s’exprimer spirituellement et matériellement. Aussi, en plus de l’obligation de lire la Méguila, mitsva qui exprime le côté spirituel du jour, il nous est prescrit de faire un festin de réjouissance (cf. ci-après, § 10-12).

La joie doit aussi consister en un supplément d’amour et d’unité au sein du peuple juif, grâce à l’envoi de présents alimentaires à son prochain (michloa’h manot) et à des dons faits aux pauvres (matanot la-évionim) (cf. § 14-15) ; car la joie véritable suppose l’accroissement de vie, par l’amour entre créatures et par l’association des pauvres à la joie. De cette façon, se révèle également le propos particulier de la fête de Pourim, qui exprime l’unité d’Israël. Le décret du méchant Haman visait tout Israël, sans distinction entre justes et impies, pauvres et riches. Aussi la joie de Pourim inclut-elle tout Israël, par l’envoi de cadeaux à son prochain et par les dons faits aux pauvres.

Mitsva de la boisson, de la joie et du festin Mitsva de la boisson, de la joie et du festin Comment accomplir la mitsva de la boisson Sens de la mitsva de la boisson Déguisements Dons aux pauvres (matanot la-évionim) Envoi de cadeaux alimentaires (michloa’h manot) Quelques règles relatives aux matanot la-évionim et aux michloa’h manot La joie de Pourim illumine toute l’année