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Envoi de cadeaux alimentaires (michloa’h manot)

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Envoi de cadeaux alimentaires (michloa’h manot)

C’est une mitsva pour chacun que d’envoyer, à Pourim, deux mets à son prochain, afin que s’accroisse l’affection entre eux. En effet, quand quelqu’un mange des mets savoureux et bons, qui lui viennent de son prochain, l’affection qui les lie se renforce. Et quiconque envoie des mets à davantage de ses amis est digne d’éloge.

Les deux mets doivent être différents l’un de l’autre. Par exemple, il peut s’agir de pain et de viande, ou de poisson et d’œufs, ou de gâteaux et de pommes. De même, on peut envoyer deux plats de viande ayant chacun un goût différent, ou deux sortes de gâteaux.

Une bouteille de boisson ayant de l’importance, telle que du vin, de la bière ou un jus de fruits savoureux, est également considérée comme un « mets » (mana).

Chaque mets doit être en quantité suffisante pour pouvoir être servi honorablement à un invité. Mais une prune unique, par exemple, n’est pas en quantité suffisante pour honorer un invité ; aussi, si l’on veut qu’un des mets offerts consiste en prunes, il faudra en mettre quelques-unes pour qu’elles puissent être considérées comme un « mets ».

Quelques règles relatives aux matanot la-évionim et aux michloa’h manot Quelques règles relatives aux matanot la-évionim et aux michloa’h manot La joie de Pourim illumine toute l’année