Les obligations de l’homme envers son prochain

Permissions diverses

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Quand on a la certitude que le propriétaire d’un objet accepterait que l’on s’en serve sans autorisation explicite, il est permis de s’en servir. Certains sont rigoureux, et n’autorisent à s’en servir sans autorisation que pour les besoins d’une mitsva, car, de cette façon, le propriétaire de l’objet participe au mérite de la mitsva, de sorte que, de prime abord, il se réjouirait de cela.

Un homme qui a faim, et qui risque de mourir de faim, a l’autorisation de voler sans violence pour subsister, à condition de prendre sur soi de rendre la contre-valeur du bien volé, dès que possible.

De même, on a le droit d’utiliser le bien de son prochain afin de s’éviter un grand et subit préjudice ; cela, même si, ce faisant, on cause un dommage au bien de son prochain, mais à la condition que, dès après cela, on rembourse le montant du dommage.