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Récitation du Birkat hamazon

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Quand le repas est terminé, il faut se hâter de réciter le Birkat hamazon. A posteriori, tant qu’on éprouve la satiété que le repas a apportée, on peut encore le réciter. Certains apportent à leur pratique un supplément de perfection en se lavant les doigts, avant le Birkat hamazon. Cette ablution s’appelle mayim a’haronim (« dernières eaux »).

On récite le Birkat hamazon assis, dans la pièce où l’on a pris son repas. À table, on n’adoptera pas une posture orgueilleuse ou frivole : on sera assis de manière honorable.

Les jours saints, les sages ont prévu la mention, dans le Birkat hamazon, de la sainteté du jour. En effet, les repas de ces jours-là sont revêtus d’un supplément d’obligation et de sainteté, et il faut donner expression à cela dans la bénédiction finale.

Si l’on mange du pain dans une quantité inférieure au volume d’un demi-œuf, on ne récite pas le Birkat hamazon, car une telle quantité n’est guère importante.

Quand trois hommes ont mangé du pain ensemble, ils doivent réciter préalablement le Zimoun (« invitation »), introduction au Birkat hamazon. S’ils sont dix, on ajoute la mention du nom divin dans le Zimoun. Quand trois femmes ont mangé du pain ensemble, le Zimoun est une mitsva, mais facultative, non une obligation.